lundi, octobre 27, 2014

Géométrie

J’ai souvent fait de la photographie à l’oratoire St-Joseph. C’est un endroit prisé des photographes et pour cause! Je connais assez bien les lieux et ce n’est pas évident de faire de la photo à cet endroit sans être redondant. Mais je me devais d’y aller avec mon appareil grand format. Je me suis donc amusé à refaire certaines photos faites précédemment avec le Leica et l’Olympus.



C’est vraiment un moyen format, avec une grande résolution et une définition époustouflante. J’ai donc refait cette image, en plongée. Je pense avoir été chanceux, avec la disposition des passants.



Décidément, j’ai bien hâte de l’utiliser à d’autres fins. Cette semaine, probablement la « magie des lanternes ».

À suivre...


dimanche, septembre 28, 2014

Antidote

Ceci sera mon premier article écrit sous la supervision du logiciel québécois "Antidote" qui sert à corriger le français. Un ami, depuis un bon bout de temps, me parlait de ce logiciel avec grandiloquence! Comme c'est quelqu'un qui maitrise assez bien le français, je lui ai fait confiance. Malheureusement, le logiciel n'était pas disponible en ligne... Il fallait se le procurer dans un magasin, en boite. En vérifiant aujourd'hui, nous nous rendîmes compte qu'il était désormais sur le site en téléchargement.

Ça ne prend pas beaucoup de temps pour se rendre compte de l'efficacité de ce produit. Il corrige tout, orthographe, grammaire, typographie, etc. Vraiment très appréciable!

Désormais, mes textes seront analysés par ce logiciel. Je vais mettre un peu de temps aussi pour vérifier mes textes plus anciens. Cela sera long, mais je crois que ça en vaut la peine.

J'avais déjà la version pour iPhone et tablette qui mettait au service de l'utilisateur plusieurs dictionnaires. Mais la version "ordinateur de bureau" est vraiment impressionnante. Ceux qui écrivent beaucoup devraient considérer l'achat de ce remarquable logiciel.

En voici l'adresse :

http://www.antidote.info

mercredi, août 27, 2014

Origine

Tant qu’à y être, voici une photo faite dernièrement au musée Redpath de l’université McGill. Ça faisait longtemps que je n’avais pas utilisé ma lentille Leica Elmarit macro. C’est pourtant une lentille impressionnante et efficace. Encore faut-il en avoir besoin. C’était la première fois que je m’intéressais vraiment à la collection de coquillages et de minéraux de ce musée. Il y en a vraiment une panoplie!


Pour ceux que ça intéresse, l’entrée se trouve du côté nord de la rue Sherbrooke vis-à-vis McGill College. Il faut entrer sur le campus et monter vers les bâtiments. Le musée est bien indiqué et c’est gratos. 

Bonne visite!

Nouveau Kodak...



En bien voilà, je me reprends un Canon G10! J’avais déjà eu un appareil comme ça jadis. Puisque le capteur est un CCD, qu’il est très portatif et que le prix était ridiculement bas, j’ai mis la main dessus avec un certain plaisir. C’est avec autant de plaisir que je l’utilise en ce moment. Il faut dire que la raison fondamentale pour laquelle j’ai décidé de réutiliser un compact vient surtout de la taille de l’objet. Tellement petit que je peux l’avoir sur moi en tout temps.


Ce filé a été fait avec le petit appareil en question!

D’autres trucs viendront.


samedi, août 16, 2014

Redémarrage !

Je viens de réparer mon blogue !  Ça trainait depuis un certain temps déjà... J'ai perdu quelques articles, malheureusement, en faisant les manoeuvres. Ça s’était complètement déréglé à la suite d’une tentative de restauration de photos. Que voulez-vous, je ne suis pas un crac en HTML.    À resuivre ! 

mercredi, janvier 29, 2014

Olympus 12-40mm f/2.8 Pro

Transept by M9ike
Transept, a photo by M9ike on Flickr.
Dire que je n’aimais pas trop les zooms...
Depuis que j’ai mis la main sur le petit dernier chez Olympus, ma perception concernant ces lentilles a considérablement changé. Il est compact (évidemment, c’est une monture micro quatre tiers) extrêmement précis, beau piqué et une ouverture constante à f/2.8. Le plus surprenant, c’est qu’à pleine ouverture, il est parfaitement précis. Presque pas de vignetage, les coins de l’image sérieusement clairs, il est vraiment impressionnant! De plus, il est tropicalisé et prêt à affronter les intempéries! Puisqu’il est fait pour fonctionner avec les caméras Olympus, dont le capteur est stabilisé, il n’embarque pas cette technologie ce qui en fait une lentille moins dispendieuse que celles chez ses concurrents Panasonic.

Il devrait avoir un grand frère vers le milieu de mars. Le 40-150mm f/2.8. S’il est aussi impressionnant, je devrai y réfléchir sérieusement!

Musée de le guerre à Ottawa

Roue à aubes 

Foret

Crèche à Marie-Reine-du-Monde

dimanche, janvier 05, 2014

De la pérennité de la photographie...

Rien de tel qu'un vélo dans la neige ! / Nothing like a bike in the snow!

J’avais aujourd’hui une conversation avec un pote qui pratique la photographie depuis plus de 30 ans. De sujet en sujet, on en est arrivé à parler de la photo argentique versus la numérique. Il est bien évident que cette dernière apporte des avantages incontestables comme la rapidité, le coût, l’accessibilité, etc. Avec les téléphones, les tablettes et autres «point'n’shoot», il ne s’est jamais pris autant de photos sur la Terre. Pourtant, question pérennité, on repassera! Les gens ne savent pas faire de sauvegarde avec leurs ordinateurs. Il suffit qu’un disque dur cesse de fonctionner pour que toutes les images — entre autres — qu’il contient soient perdues pour toujours! Tout le monde photographie, mais très peu de ces photographies vont survivre.

Paradoxalement, on connait la première photo! Elle est conservée au Harry Ransom Center de l’Université du Texas à Austin, aux États-Unis. Elle a été prise par le français Nicéphore Niépce en 1826 ou 27 et est connue sous le nom de «Point de vue du Gras». À cette époque, M. Niépce devait être le seul photographe au monde! (À tout le moins, un des seuls) Pourtant, la photo existe toujours, on peut la voir en réel ou numérisée sur Internet. Aujourd’hui, il se prend des millions, peut-être des milliards de photos par jour. D’ici 5 ou 10 ans, il en restera combien? 5 ou 10 % en étant optimiste?

Il n’existe qu’une seule façon d’assurer la pérennité de nos photos : l’impression. En mettant nos photographies sur un support analogique, les chances de survie augmentent de beaucoup. Évidemment, le support parfait n’existe pas. Mais un coup imprimée, la photo aura beaucoup plus de chance de survivre que dans les méandres virtuels d’un disque dur ou sur un nuage quelconque sur Internet.